atelier (R)espire paysage

  • met toute son expérience au
    service des projets
  • sait et aime travailler en
    collaboration
  • souhaite être acteur de la
    mutation des territoires
  • aime le projet, sait écouter,
    analyser, proposer, composer

ASSOCIÉS

Une culture d’architecte, une pratique de paysage, un métier d’urbaniste

L’atelier (R)espire paysage est né de l’envie de concrétiser une collaboration entre deux personnes et qui depuis 2015, aiment travailler ensembles.
Cela suffit pour créer un lieu à Nice, à deux pas de la mer, où se retrouvent des concepteurs autour des questions contemporaines sur l’environnement, la place des arbres en ville, concevoir avec le vivant……. ou l’acte de bâtir.

L’atelier est spécialisé en aménagement urbain et paysager.

L’atelier (R)espire paysage inscrit au tableau de l’Ordre des Architectes PACA.
L’atelier (R)espire paysage est membre de la Fédération Française du Paysage.

Anne ROMANINI, associée fondatrice

  • DÉSIGNÉE MEMBRE SUPPLÉANT POUR LA COMMISSION DES SITES DU 05 (depuis 2025)
  • PAYSAGISTE CONCEPTEUR (2020)
  • ARCHITECTE DPLG (1999)
  • JURÉE DE CONCOURS (depuis 2018)


Architecte, formée au paysage et a l’urbanisme à l’atelier JP Clarac, paysagiste urbaniste à Sophia-Antipolis, elle a l’habitude des grands projets urbains et des équipes pluridisciplinaires.
Du tramway de Nice (ligne 1 phase conception) à la réalisation du front de mer de Bandol ( 650 ml de promenade), en 20 ans, elle sait gérer les différentes phases de projets.
Après 5 années cheffe d’agence d’architecture à Nice ( Agence Griesmar Architectes -10 personnes) et 3 ans Associée fondateur d’Acte Global, agence de paysage de 3 personnes en 2019. Elle revent ses parts début 2022, elle s’associe à nouveau pour créer et gérer l’atelier (R)espire paysage.
Elle met au service au projet son expérience et sa double compétence d’architecte et de paysagiste.

Expériences

grands projet urbains, aménagement du territoire

projets en Sites Classés

collaboration d’agences d’architecture et de paysage

gestion d’équipes / concours / études prospectives

Compétences :

  • connaissance du milieu maralpin
  • créativité
  • adaptabilité
  • mobilité
  • encadrement
  • expertise
Respire at work - Anne Romanini

Jean-Baptiste GRIESMAR, associé fondateur

  • TRÉSORIER NATIONAL DE L’ORDRE DES ARCHITECTES
  • JURÉ DE CONCOURS (depuis 2018)
  • ARCHITECTE DPLG (2004)

JB Griesmar est gérant de son agence d’architecte AGA qu’il a fondé en 2009. Très bien implanté dans le bassin niçois l’agence regroupe 10 personnes.

Expériences

Construction de bâtiments de tous types

Logements neufs, crèches

Rénovation de collèges

Projets patrimoniaux

Compétences :

  • expertise
  • chef d’entreprise
  • conduite de chantier
  • gestion
Jean-Baptiste Griemasr et Anne Romanini

POSTURE

Profil des associés

Paysagiste concepteur et architectes dplg, les associés fondateurs sont habitués aux pratiques du paysage et à la fabrique du projet urbain.
La conduite de projets en équipe, la de conception des aménagements urbains, les propositions adaptées aux différents sites, sont des pratiques quotidienne et maitrisée.

Réunir les forces, les compétences, est une manière d’exercer qui est opérationnelle, acquise et c’est la seule qui permettra de faire émerger un projet viable dans la durée.

A chaque stade du projet, une réponse est apportée pour réaliser sa mise en œuvre.

L’Atelier répond à la commande publique sur des problématiques urbaines et des aménagements paysagers. RESPIRE Paysage est spécialisée en aménagement urbain et paysager à différentes échelles.

L’expérience des associés permet aussi de mobiliser autour d’eux des amis «experts» pour répondre à des problématiques complexes.

Avec des missions d’AMO ou de MOE, nous avons développé un sens du partenariat en coopérant directement avec les différents acteurs territoriaux

Posture

Etre «sachant sur un site», permet d’en avoir une lecture en profondeur, sur son histoire et sa géographie. 
Chaque site mérite qu’on s’intéresse à son passé, son sol ou son sous-sol et la découverte d’un ancien canal peut être le fil directeur d’un projet, révéler une trace romaine peut aussi en devenir un élément fondateur.

Faire table rase du passé est une attitude défendable si elle est le fruit d’une réflexion et non celui de la paresse intellectuelle.

Le projet de paysage, la fabrique de la ville, la maison, le détail du garde corps, il n’y a que des projets qui doivent être respectueux du site, durable et économe en énergie. Chaque projet est important et l’échelle n’a rien à y voir. 

Ce qui motive la pratique du projet est pour nous, concepteurs :  la capacité à proposer un ensemble de bâtiments ou à imaginer un espace public, qui reflètent «notre» vérité de l’imbrication site-programme

Du concours à la réalisation, l’ambition doit être affichée et la démarche intellectuelle qui sous-tend le projet lisible. 

Pour éviter de faire et de défaire, pour être économe, il est impératif de partager une même vision, de préparer les territoires aux mutations à venir ou de savoir préserver certains sites emblématiques. 

L’espace public peut être conçu en concertation avec les habitants, mais validé par le débat politique qui porte et permet sa mise en œuvre.

C’est par la définition d’une attitude de projet sur les espaces publics que l’aménagement urbain trouvera sa juste place dans les grands projets de territoire et le rôle du concepteur consistera à dépasser le cadre commun, et écrire d’une manière élégante les questions du moment et celles de demain.

Au service du territoire

L’atelier de paysage permet de poser un regard un peu plus sensible sur les aménagements parmi les contraintes urbaines liées au site.

Les questions contemporaines liées à la nature des travaux sont des problématiques à aborder dès la conception des espaces extérieurs quelques soit la taille et la configuration du projet.

Il est impératif sur tous les mètres carré du territoire de pouvoir être inventif, innovent et économe.

Ce sont les métiers de conception qui arrivent à faire à la fois la synthèse de toutes les contraintes techniques et veiller à une production qualitative de l’espace public.

De plus, nous ne pouvons plus faire l’économie d’aborder les projets sans porter des réflexions sur l’intégration de plus de «vivant» dans le paysage urbain lors que cela est possible.

L’atelier permet la conception d’aménagements qui tente d’intégrer la ville dans sa biorégion.

Rôle du paysagiste

Le paysagiste cherche dans l’équilibre multifonctionnel ( économie, social, environnement) des opérations d’aménagements qui doivent faire sens. Il cherche à approcher de manière sensible à la fois l’organisation du vivant et l’organisation des activités humaines.

Mettre le « vivant » comme base conceptuelle du projet urbain, ne va pas de soi, loin de la ! et pourtant quand le projet s’y prête nous osons nous lancer clairement dans cette démarche.

Cela ne veut pas dire qu’il faut absolument mettre de la verdure, cela veut dire que nous prenons la mesure des relations combinées du sol, du vent, du soleil, de l’eau, … avec les contraintes du projet.

En effet, le Paysage s’impose en tant que discipline  incontournable de  ’aménagement, et la convergence de plus en plus forte des enjeux
de société autour des  thématiques de Nature et d’Environnement.

Le paysagiste de la commande publique est capable d’aller à la grande échelle, plus stratégique, où le Paysage apparaît comme une porte d’entrée légitime pour aborder les sujets cruciaux que sont l’étalement urbain, les fonctions économiques des villes et des campagnes, la nécessité de se déplacer, de se nourrir, de se divertir.

Et, au sein d’une équipe, le paysagiste œuvre en accompagnant une prise de conscience collective de plus en plus forte des enjeux environnementaux, à la construction de projets emblématiques d’une relation ville / Nature toujours plus forte et innovante.

La double compétence d’Anne Romanini et son expérience depuis 20 ans permet d’approcher le projet dans le domaine à la fois du paysage et de l’urbanisme.